Les niveaux mondiaux de
dioxyde de carbone et de méthane ont significativement augmenté en 2007.
Les niveaux mondiaux de dioxyde de carbone et de méthane ont, en 2007,
significativement augmenté. L’Administration atmosphérique et océanique des
Etats-Unis (NOAA) a trouvé qu’en 2007, les niveaux de CO2 qui est le gaz
principal auquel on attribue le réchauffement, avait augmenté de 0,6% soit 19
milliards de tonnes. Les scientifiques du Laboratoire de recherche sur le
système de la Terre
ont aussi montré que la quantité de méthane, un gaz à effet de serre encore
plus puissant que le CO2, avait augmenté de 0,5% l’an passé, soit 27 millions
de tonnes.
Un grand merci NOAA, d’avoir fait
paraître cette information sur les niveaux des émissions au public.
Puissions-nous tous vite agir pour que l’environnement retrouve un état stable
et durable.
http://www.thewest.com.au/default.aspx?MenuID=29&ContentID=69550
Le glacier tasmanien de
Nouvelle Zélande est en train de rapidement disparaître.
Le glaciologue Martin Brook de l'Université Massey estime que le glacier s'est
retiré à une vitesse de 180 mètres par an depuis 1990. Un lac s'est aussi formé
à la base et accélère la fonte de la glace. Dr. Brook déclare que à cette
vitesse, le glacier disparaîtra probablement entièrement du fait de sa basse
altitude et de la continuelle hausse des températures..
Dr. Brook, merci pour votre étude
instructive Nous prions pour que nous puissions arrêter le réchauffement
mondial et sauver la
Nouvelle Zélande.
http://www.massey.ac.nz/massey/about-us/news/article.cfm?mnarticle=tasman-glacier-retreat-extreme-23-04-2008
Evaluation du changement
climatique et coopération mondiale.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a
publié un rapport l'an passé fournissant une évaluation scientifique de
l'impact humain sur le changement climatique, ainsi que des moyens d'aider à
réduire ses effets. Un an après ce rapport, la recherche s'est étendue, avec
des options du réchauffement mondial étudiées plus intensément par les experts
du monde entier.
The United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC)
published a report last year providing a scientific and human impact assessment
on climate change, along with ways to help mitigate its effects. One year after
this report, research has now expanded, with global warming options more
intensely studied by experts worldwide.
Supreme Master Television s'est
entretenue avec Dr. Gordon McBean, un professeur de l'Université de l'Ontario
de l'Ouest, au Canada, et président de l'institut des pertes de réduction des
pertes catastrophiques. des pertes catastrophiques. Dr McBean nous fait part de
ses dernières découvertes sur la façon dont le changement climatique affecte
l'équilibre des systèmes naturels de la Terre.
Dr. Gordon McBean
Professeur de University of Western Ontario
Président
pour la Politique
de l’Institut pour la
Réduction des Pertes Liées aux Catastrophes
Dr. Gordon McBean, Président
pour la Politique
de l'Institut pour la
Réduction des Pertes Liées aux Catastrophes: Alors que nous réchauffons le pergélisol
ou l'océan, cela pourrait devenir volatile, pourrait se transformer d'une forme
solide en une forme gazeuse et bouillonner. Le climat change : un système de
flore naturel qui, en équilibre absorbe d'énormes quantités de CO2 mais libère
aussi environ la même quantité, si vous le rendez moins productif il ne pourra
pas autant se développer et il ne pourra pas en retenir autant. Mais s'il meurt
et pourrit, il en émettra tout autant.
Ce que nous voyons dans ces
études est une augmentation du risque de grandes quantités de CO2, arrivant,
non pas de nous directement mais du carburant fossile en combustion ; c'est
indirectement de notre fait, et crée alors comme quelque chose de naturel -
mais dans ce cas-ci plus du tout naturel- une interférence avec le processus naturel
puisque cela ajoute du CO2. Donc vous pouvez voir que dans certains modèles
cela monte en flèche. Même avec la quantité d'émission qui décroît du
fait de l'activité humaine, le climat augmente quand même.
L'atmosphère de la Terre est capable de contenir
une grande quantité de dioxyde de carbone tout comme les atmosphères saturées
en carbone de Vénus et Mars. Une fois libéré, le dioxyde de carbone, demeure
présent durant des siècles, créant un problème à long terme qui selon le Dr.
McBean, nécessite une solution mondiale.
Dr. McBean: Ça prend juste deux, trois, quatre ans
pour que ce gaz à effet de serre le dioxyde de carbone puisse circuler autour
du globe. le CO2 se déplace et se mélange tout autour du globe de sorte que le
CO2 du Canada à l'Inde, du Nigeria de la Chine, de l'Europe en quelques années, tout cela
sera mélangé. Donc vous ne pouvez pas le résoudre en ayant un pays ou un groupe
de pays agissant. Il nous faut un effort mondial pour régler ce problème. C'est
un problème qui intrinsèquement est mondial.
Selon le degré des
efforts collectifs requis, Dr McBean fait cette projection pour l'avenir.
Dr. McBean: Les océans se réchauffent toujours, C'est
rattrapable. Si nous arrêtions toutes les émissions des gaz à effet de serre
demain, par un procédé miraculeux, et que nous gardions le CO2 de l'atmosphère
constant pour les prochains 100 ans à 380 parties par millions (ppm) ce qui est
le cas actuellement, le système climatique se réchaufferait encore à un taux de
0,1° Celsius tous les dix ans, un autre degré d'ici la fin du siècle. Plus
vraissemblablement, nous allons réchauffer de 2 degrés Celsius d'ici la fin du
siècle, si nous prenons des mesures. Mais si nous ne faisons rien, alors nous pourrions réchauffer le climat à
un taux de 8 degrés Celsius tous les dix ans d'ici la fin du siècle. Et c'est
vraiment effroyable, ça dépasse le sommet de l'échelle.
Cependant, Dr.
McBean dit que lui et beaucoup de membres de la communauté scientifique ont de
l'espoir. Les propres entreprises du Dr McBean vont au-delà de la science pure
; il travaille aussi avec d'autres pays en Asie et en Afrique pour aider leur
recherche et les efforts politiques. Il a appelé tous les gouvernements à
prendre des mesures urgentes avec une approche internationale.
Dr. McBean: Finalement, espérons que l'humanité se
mette d'accord et que nous voyions la sagesse de ce que nous devrions faire et
les avantages de cela, de façon globale, pour que nous puissions régler le
problème collectivement avant qu'il ne soit trop tard. Je ne crois pas qu'il
soit encore trop tard. Je pense qu'il y a encore de la marge pour agir, se
bouger ensemble. Mais ce doit être un effort, disons, motivé et mené par ceux
qui ont la capacité d'aider la communauté mondiale.
Merci
au Dr McBean et aux nombreux scientifiques qui sont nos guides vers la solution
au changement climatique. Puissions nous tous nous entraider pour mettre en
place les meilleurs systèmes et technologies possible pour notre survie, et
plus encore, celle de nos générations futures.