"Supplique sincère pour le monde : les nouveaux poèmes du Maître Suprême Ching Hai et leurs adaptions en chansons"
Soyez à l'antenne aujourd'hui sur Supreme Master Television pour Un Voyage à Travers les Royaumes Esthétiques : Musique et Poésie pour une présentation exclusive des deux derniers poèmes écrits et récités spécialement par Maître Suprême Ching Hai
“Je vous en prie, réveillez-vous !" et "S'il vous plaît, ne partez pas" sont des vers d'un compassion débordante, un appel du coeur pour que tous retournent à la voie d'amour et d'unité et ensemble reconstruire notre terre en Paradis.
Ô monde, réveille-toi et vois Fleuves et montagnes sont en émoi Ô monde, réveille-toi et vois Fleuves et montagnes sont en émoi
Ce programme sera aussi diffusé toute la semaine sur les Voyages à Travers les Royaumes Esthetiques sur Supreme Master TV du lundi au vendredi du 7 au 11 décembre 2009
Samedi le 5 décembre 2009 Du lundi au vendredi, du 7 au 11 décembre 2009
Je vous en prie, réveillez-vous! (Hãy Bừng Tỉnh) Poème écrit et récité par Maître Suprême Ching Hai
Ô monde, réveille-toi et vois Fleuves et montagnes sont en émoi Forêts brûlées, collines érodées, ruisseaux asséchés Où vont les pauvres âmes à la fin ?
Ô grande Terre, que ton agonie s’amoindrisse Pour que ces larmes s’amenuisent avec la nuit qui persiste Ô mers et lacs, n’arrêtez point vos mélodies Qui permettent d’espérer un lendemain pour l’humanité…
Ô frère, réveille-toi immédiatement ! Avec fierté marche sur les mers et les fleuves Fixe le soleil flamboyant Et fait le vœu de sauver tous les êtres.
Ô sœur, réveille-toi dès à présent ! Lève-toi des lieux de dévastation Ensemble, restaurons notre planète pour que tous chantent les joyeuses chansons d’unité.
Réveillons-nous des longues nuits des rêves illusoires… Le monde se tord de douleur, montagnes et forêts ont flétri, fleuves et mer se sont taris. Réveillons-nous tous à présent et aidons à ré-embellir la Terre L’avenir s’éclairera de nouveau ; les cœurs cesseront de se lamenter Un printemps glorieux reviendra comme si c’était le Paradis. Avec le service altruiste à l’esprit et de l’amour pour l’humanité, les animaux et les plantes de notre environnement, nous nous réunissons ici dans des mélodies célestes omniprésentes. Réveillons-nous tous pour bâtir ensemble une planète radieuse pour cette génération et les nombreuses autres à venir.
Ô cœur, apaise tes sanglots Pour que mon âme se repose de longues nuits. Les larmes ont séchées et je suis muette Pleurant de sympathie pour le tourmenté !
Ô mon cœur, ne te lamente plus Tel un insecte se tortillant dans l'hiver glacé. Calmement attends un lendemain parfait Et le jour où le monde se changera en Paradis
Ô frère, réveille-toi immédiatement ! Avec fierté marche sur les mers et les fleuves Fixe le soleil flamboyant Et fait le vœu de sauver tous les êtres.
Ô sœur, réveille-toi dès à présent ! Lève-toi des lieux de dévastation Ensemble, restaurons notre planète pour que tous chantent les joyeuses chansons d’unité.
Ensemble restaurons notre planète Que tous chantent de joyeuses chansons d'unité. Ensemble restaurons notre planète Que tous chantent de joyeuses chansons d'unité.
S'il vous plaît, ne partez pas (Hãy Dừng Lại) Poème écrit et récité par Maître Suprême Ching Hai
Ne pars pas, laissant une mère âgée et l'innocente fratrie ! Il n'y a pas de réelle haine entre nous les êtres humains. Les champs de bataille n'ont que fusils sabres et hostilité, Alors qu'ici un chaleureux foyer accueille ta compagnie.
Ne pars pas, infliger de la souffrance à autrui. Il n'y a pas de réelle animosité, seulement la soif du pouvoir ! D'innombrables cadavres gisent réduits pour étendre un empire, Tandis qu'ici seuls l'amour, la paix et la sécurité règnent.
Ne pars pas, abandonnant un doux père et de pieux enfants. Il n'y a pas de réelle inimité, juste la duperie ! Une nation entière détruite pour que quelques mortels jubilent, Pendant qu'ici d'insouciants cerfs-volants voguent dans le ciel serein.
Ne va pas plus loin sur le chemin Des fantômes vengeurs et des démons criards La vie d'un soldat écrasée en terre étrangère – Une âme perdue dans le vent poussiéreux des royaumes sombres !
Ô chéri, s'il te plaît arrête tes pas ! Tiens les mains de ta tendre épouse : S'il te plaît pense à ta famille, à ton pays et au monde Pourquoi avoir le cœur à semer misère et mort ?
Relâche ta prise, ne vas-tu pas le faire ? Ne brandis pas le sabre pour des vœux qui sont si sanglants. Regarde de nouveau tes « ennemis éternels » Ne sont-ils pas aussi humains, mon amour ?
Assois-toi à mes côtés, et calme ton esprit Écoute les esprits égarés errant pendant des milliers de vie Dans le vent et la pluie violents, leurs pleurs à déchirer le cœur Se lamentent des dettes karmiques dans une guerre de jours révolus !
Soit nous mourons soit d'autres périssent Un futur plein de vie s'éteint soudain dans la fleur de l'âge ! Toute l'affection, la famille et les amis Disparaissent avec un cœur rancunier dans un bain de sang amer.
Une existence humaine pleine d'allant, et de vigueur Des rêves de jeunesse aux aspirations élevées, Balayés dans un courant de sang chaud en un instant précipité Un vent glacé soulève la poussière jaune sur le sol du combat !
S'il te plaît reste avec moi, ensemble nous pouvons honorer la vie. Nos voisins, proches et parents seront juste à côté. Il y a du riz tendre et des pommes de terre succulentes, des rivières romantiques et des mers rêveuses Une longue digue ornée de champs fleuris.
Nombre de héros et héroïnes, présents et passés ont sauvé une myriade d'êtres du carnage. Ils ont construit paix et prospérité Remplaçant les guerres par de merveilleuses vérités dans l'éternel.
À prendre des vies, nous devrons payer de la nôtre. Comment pouvons-nous nous réjouir de causer mort et séparation ? Seule la compassion débordante, infinie Nous fera grands parmi toute la création...
Ne pars pas, laissant une mère âgée et l'innocente fratrie ! Il n'y a pas de réelle haine entre nous les êtres humains. Les champs de bataille n'ont que fusils sabres et hostilité, Alors qu'ici un chaleureux foyer accueille ta compagnie.
Ne pars pas, abandonnant un doux père et de pieux enfants. Il n'y a pas de réelle inimité, juste la duperie ! Une nation entière détruite pour que quelques mortels jubilent, Pendant qu'ici d'insouciants cerfs-volants voguent dans le ciel serein.
Ne va pas plus loin sur le chemin Des fantômes vengeurs et des démons criards. La vie d'un soldat écrasée en terre étrangère – Une âme perdue dans le vent poussiéreux des royaumes sombres !
Ô chéri, s'il te plaît arrête tes pas ! Tiens les mains de ta tendre épouse : S'il te plaît pense à ta famille, à ton pays et au monde Pourquoi avoir le cœur à semer misère et mort ?
Ne va pas plus loin sur le chemin Des fantômes vengeurs et des démons criards La vie d'un soldat écrasée en terre étrangère – Une âme perdue dans le vent poussiéreux des royaumes sombres !
Ô chéri, s'il te plaît arrête tes pas ! Tiens les mains de ta tendre épouse : S'il te plaît pense à ta famille, à ton pays et au monde Pourquoi avoir le cœur à semer misère et mort ?
Assois-toi à mes côtés, et calme ton esprit Écoute les esprits égarés errant pendant des milliers de vie Dans le vent et la pluie violents, leurs pleurs à déchirer le cœur Se lamentent des dettes karmiques dans une guerre de jours révolus !
À prendre des vies, nous devrons payer de la nôtre. Comment pouvons-nous nous réjouir de causer mort et séparation ? Seule la compassion débordante, infinie Nous fera grands parmi toute la création...
|